ATIMIC et WebForce3 forment des personnes en situation de handicap au métier de testeur logiciel

WebForce3 lance une nouvelle session de formation Homologateur/Testeur logiciels à Orléans. L’objectif est de former des personnes en situation de handicap, qui seront ensuite recrutées par ATIMIC.

 

ATIMIC, ESN et Entreprise Adaptée

Pour cette session de formation au métier de Homologateur et Testeur logiciels, WebForce3 s’associe à ATIMIC et continue sa recherche toujours plus profonde d’inclusion et d’accès aux métiers du numérique à toutes et tous.

Effectivement, ATIMIC est une Entreprise Adaptée (EA) en plus d’être une Entreprise de Services du Numérique (ESN).

ATIMIC fut créée pour intégrer mais également pour maintenir des personnes en situation de handicap dans les métiers du numérique. Spécialisée dans l’informatique de gestion, cette entreprise qui compte dans la France inclusive est située à Levallois Perret (92), Orléans (45), Lyon (69), Bordeaux/Libourne (33) et Toulouse (31).

 

Homologateur et Testeur de logiciels, c’est quoi ?

La mission du Homologateur/Testeur de logiciels :

Elle ou il devra assurer la qualité des livraisons logicielles, de la réalisation des tests fonctionnels jusqu’au support pour les paramétrages clients.

À ce titre, il·elle sera amené·e à :

– Participer à la rédaction des éléments de recette

– Réceptionner les environnements de tests et les exécuter

– Tester les développements informatiques

– Remonter les anomalies

– Produire des livrables comme :

  • Cahiers de tests clients complétés et validés par les parties prenantes (clients, middle office interne et IT)
  • PV & bilan des tests réalisés.

 

Une formation et un poste adaptés pour toutes et tous !

En tant qu’Entreprise Adaptée et centre de formation inclusif, ATIMIC et WebForce3 s’engagent à personnaliser les conditions de travail et de formation pour toutes et tous :

  • Temps de travail aménagé.
  • Matériel adapté à chacun·e.
  • Attention particulière et individualisée.
  • Accompagnement tout au long de la formation et du métier, propre à chacun·e.

Les profils recherchés :

  • Débutant·e souhaitant découvrir ce nouveau métier et réaliser une formation certifiante au métier de testeur (ISTQB)
  • Personne disposant d’une première expérience dans le milieu du développement logiciel et du test.
  • Avoir une logique et une curiosité permettant de déceler les moindres anomalies, avec de bonnes capacités analytiques.
  • Disposer de bonnes qualités rédactionnelles et de communication orale.
  • Avoir de bonnes qualités relationnelles et apprécier le travail en équipe.

Le métier propose un Contrat à Durée Indéterminée de 35h avec un salaire annuel de 26 000 euros.

 

Si vous êtes intéressé·e, envoyez votre candidature avec un CV à Cécilia JOLY -> cecilia.sanchez@wf3.fr et participez à une réunion d’information collective le 27 décembre à 10h ou le 6 janvier à 14h.

Former à distance : les 6 conseils clés de notre formatrice

En cette période de confinement afin de lutter contre la propagation du COVID-19, il est essentiel de s’adapter afin de sauver votre vie et celle des autres. Après avoir rassemblé quelques conseils pour être efficace en formation en téléprésentiel, voici des conseils de nos formateur·rice·s qui assurent leurs cours également à distance.

 

Téléprésentiel : l’art de prévoir, d’interagir, faire participer

Depuis bientôt deux semaines, nos formateurs et formatrices ont pu s’adapter, améliorer leur préparation et prévoir les petites différences à prendre en compte lorsque leurs journées de cours se passent sur une plateforme de visio-conférence en ligne.

Jennifer, notre super formatrice à Paris, donne des cours de communication, relations presse et réseaux sociaux pour la formation Designer Web Marketing Digital

Redécouvrez le portrait de Jennifer Nzola, blogueuse, communicante et passionnée.

 

6 conseils clés de notre formatrice pour assurer une formation en téléprésentiel :

 

#1 Concilier formation et gestion des enfants

Si l’on est parent, préparer les activités des enfants à l’avance de manière à ne pas être surpris·e ou dérangé·e n’importe quand. Profiter de la pause matinale pour préparer le déjeuner est également conseillé. Essayez de les tenir occupé·e·s le reste de la journée afin de ne pas être dérangé·e, car sortir de son cours, même pour quelques secondes, peut influer sur la dynamique du cours et sa concentration.

 

#2 Vérifier sa connexion

Se connecter une quinzaine voire une trentaine de minutes avant le début du cours afin d’être sûr·e que les outils digitaux fonctionnent, notamment le son et la vidéo.

Si la connexion en wifi n’est pas optimale, ne pas hésiter à se connecter avec la 4G de son téléphone. Il y a un numéro gratuit que l’on peut appeler pour rejoindre la réunion, il faudra juste penser à préparer le numéro de la session.

Avoir des soucis de connexion en démarrage de cours peut faire perdre la concentration d’apprenant·e·s et la dynamique du cours…

 

#3 Activer sa webcam pour plus de convivialité

Demander aux élèves d’activer leur webcam afin que ce soit plus convivial, malgré la distance. Quand on est sur l’ordinateur, on peut avoir envie, à tort, de profiter de la distance pour ne pas se montrer… Justement, voir les participant·e·s concentré·e·s, à l’écoute, réactif·ve·s, les rendra encore plus investi·e·s, motivé·e·s et concerné·e·s.

 

#4 Optimiser ses temps de repos

Se faire à manger pendant la pause du matin ou même la veille, ce qui permet de profiter au maximum de son heure de pause (et avoir la possibilité de faire une micro-sieste si besoin).

Mettre en place des exercices, suite au débriefing de la matinée, peut être une solution intéressante, permettant à chacun·e de comprendre et d’apprendre concrètement, de se rendre compte des difficultés tout en vous permettant d’anticiper la suite ou de vous concentrer sur les apprenant·e·s qui ont besoin d’accompagnement individuel.

 

#5 Dynamiser l’échange entre formateur et apprenants

Solliciter régulièrement les apprenant·e·s, en posant des questions, en utilisant le chat, par exemple. Ce qui permet de vérifier que tout le monde suit bien et que personne ne s’est perdu en cours de route. Tout le monde restera concerné, intéressé et vous serez même capable de participer à la création d’une véritable ambiance de classe virtuelle ! Les échanges, qu’ils soient en rapport avec le cours ou pas, permettent à la journée d’être plus agréable et améliorent déjà les journées suivantes.

 

#6 Travailler et échanger en mode collaboratif !

Partager les liens et des documents dans l’espace de conversation. Il est préférable de ne pas faire cours à l’oral à 100%. Les paroles s’envolent, les écrits restent !

Continuons à travailler en mode projet, partageons nos connaissances ! Une parole peut être mal entendue, mal comprise ou passer à la trappe d’une oreille prise par l’appel urgent d’un proche ou d’un enfant. Partager par écrit certains documents permettra à tou·te·s d’en prendre connaissance, de le comprendre et de l’inclure directement dans ses notes.

Portrait d’une formatrice : Jennifer Nzola, blogueuse, communicante et passionnée

Enfant de la République Démocratique du Congo, embrassant plus tard le sol français, Jennifer Nzola est une démonstration superbe de l’ambition d’une femme plurielle qui a tant appris par et pour elle-même qu’elle aime partager aux autres. Aujourd’hui consultante en stratégie de communication, fondatrice d’un réseau professionnel féminin et conférencière, elle transmet ses compétences en communication digitale en étant formatrice à WebForce3 pour la formation Designer Web Marketing Digital. Portrait.

 

D’une ambition profonde à une carrière au sommet !

Née à Kinshasa, au Congo, Jennifer Nzola a toujours eu en elle une âme de meneuse. Déjà à la tête de son groupe d’ami·e·s dès l’âge de 5 ans, elle étonnait également sa famille pendant un jeu en démontrant son implacabilité et sa propension à se diriger vers la victoire. Profondément ambitieuse, elle démarre sa carrière à seulement 19 ans où elle fut responsable de la communication pour une marque de vêtements, et ce pendant qu’elle suivait des études de communication en alternance. Si jeune et déjà capable d’organiser des rencontres avec des mannequins, des photographes, des acheteurs ainsi que des évènements cruciaux dans le domaine : défilés de mode, passages à la radio, tournages de vidéos, présences lors de salons…

En plus de voir grand, elle voyait loin. Elle a osé et fut récompensée. Aujourd’hui, en plus d’être consultante en stratégie, de tenir régulièrement des conférences, de tenir une chaîne YouTube de conseils en communication et en marketing, elle est fondatrice d’un réseau féminin international francophone : Le Cercle des Audacieuses et d’un média positif pour aider à être soi-même en sortant des cases prédéfinies : BEBOLD.

 

Aider, accompagner, encourager : Une formatrice qui aime transmettre, plus que tout !

Quel bel exemple de réussite ! Sa carrière est un exemple pour tou·te·s. Mais elle ne s’arrête pas en si bon chemin. Car là est l’ambition finale d’une femme si forte et déterminée : transmettre son savoir pour que d’autres réussissent également.

WebForce3 est fier de la compter parmi ses formateur·rice·s car elle est un exemple de réussite dans le domaine de la communication et du numérique. Elle est également une formatrice qui marque les esprits des apprenant·e·s, que ce soit au niveau des compétences qu’elle transmet comme au niveau de sa pédagogie claire et souriante.

Elle a formé de nombreux·ses apprenant·e·s lors de la formation Designer Web Marketing Digital à WebForce3 Paris 4ème et WebForce3 Paris 18ème, sur des modules dédiés à la communication par les réseaux sociaux et le marketing.

 

Jennifer Nzola offre ces conseils clés pour réussir :

  • On n’est jamais trop âgé pour apprendre et se former. Que l’on ait 18 ans ou 99 ans, ce qui compte c’est la volonté et la ténacité.
  • Ce n’est pas parce que vous n’avez pas encore trouvé votre talent que vous n’en avez pas.
  • Lancez-vous et sortez de votre zone de confort. Rien ne change lorsqu’on reste assis sur une chaise à regarder le temps filer.
  • Croyez TOUJOURS en vous.

 

Découvrez-en plus en visitant son site

 

Situation des indépendants face à la crise : Alain Assouline souhaite un nouveau Contrat Social

Faisant suite à la crise sanitaire du Coronavirus, une partie de la population active se retrouve particulièrement en difficulté : les travailleur·e·s indépendant·e·s. Beaucoup se retrouvent dans l’obligation de cesser leur activité, soit parce qu’elle n’est plus possible en période de confinement, soit parce que les entreprises suspendent les missions attribuées.

Alain Assouline, fondateur de WebForce3 est aussi président de CINOV Numérique (syndicat des indépendants, TPE et PME du numérique). Il a pris la parole dans Solutions Numériques pour que le statut de travailleur indépendant soit pensé autrement.

 

En tant que président de WebForce3, en quoi êtes-vous particulièrement concerné par les travailleurs indépendants ?

 

Nombre de formateur·rice·s de WebForce3 sont indépendant·e·s. C’est le statut qu’ils ont choisi pour exercer le métier du numérique qu’il·elle·s enseignent chez nous. J’ai bien sûr pensé à elles et eux lorsque j’ai pris la parole en faveur d’une solution durable qui les protège.

En fait, le Contrat Social actuel ne les intègre pas, il date d’après-guerre et n’a été pensé que pour les grandes entreprises et leurs salarié·e·s. Depuis, la place des indépendant·e·s est devenue majeure, notamment dans le numérique, avec l’explosion des applications et des services d’intermédiation tels que les plateformes. Pourtant leur statut n’a pas été mis à jour.

 

Lire la tribune sur Solutions Numériques

 

 

Que pensez-vous de la proposition du gouvernement français ?

 

L’État propose d’aider le·la travailleur·se indépendant·e avec une somme à hauteur de 1500 € maximum pour le mois de mars. Sur le très court terme, c’est déjà une bonne chose car le mois de mars a été compliqué pour beaucoup.

Sauf que cette somme est offerte à un·e travailleur·se indépendant·e si une perte est enregistrée par rapport au mois de mars 2019. On sait qu’un·e travailleur·se indépendant·e a pu travailler tout le mois de mars pour ne facturer que début avril. Ce n’est donc pas pertinent.

Et on le sait pour nos formateur·rice·s de WebForce3, un·e développeur·se facture au minimum sa journée à 300 ou 350 €, parfois plus. S’il·elle ne travaille que 10 jours dans le mois, il·elle gagnera 3 500 €. La différence est énorme ! À Berlin, les indépendants se sont vu attribuer 5 000 € chacun…

 

 

Quelles solutions peuvent être envisagées pour les travailleurs indépendants ?

 

Un·e salarié·e, actuellement au chômage technique, sera indemnisé·e à hauteur de 85% de son salaire habituel. Pourquoi ne pas rémunérer un·e travailleur·se indépendant·e en se basant sur le même pourcentage ? Le·La salarié·e se verra indemnisé·e en fonction de son précédent salaire, et non par un chiffre fixe et arbitraire.

Pour indemniser le·la travailleur·se indépendant·e, il faudrait calculer une moyenne annuelle et la diviser par 12 en tenant compte de ce que chacun·e gagne.

 

J’ai voulu souligner dans cette Tribune que cette crise sanitaire montre que les indépendant·e·s sont mal protégé·e·s par rapport aux salarié·e·s. Il faut donc leur créer un statut qui les intègre au Contrat Social car ils·elles seront de plus en plus nombreux·ses, particulièrement dans le numérique.

 

WebForce3 a pu s’adapter et continue de délivrer ses formations en téléprésentiel. Nos formateur·rice·s ne sont donc pas impacté·e·s par cette situation dans cette partie de leur activité. Mais ils le sont sûrement dans le reste de leur activité professionnelle…

Nous sommes conscients que cette situation peut amener à une précarité dont il sera difficile de se relever. Car survivre un mois, ce n’est pas uniquement faire de moindre courses, beaucoup risquent de s’endetter et leur activité peut ne jamais s’en relever.

 

Lire la tribune sur Solutions Numériques

INTERVIEW Thomas, formateur : « Je veux inspirer mes apprenants »

Thomas est formateur chez WebForce3 en communication et marketing digital au sein de la formation Designer Web Marketing Digital (Référent.e Digital). Il vous explique son rôle, son expérience pro’ très riche dans le digital et à quel point il aime enseigner et être formateur chez WebForce3 ? #BeTheChange

Diplômé de Dauphine et de l’Ecole de Guerre économique, Thomas est consultant en communication et formateur en communication digitale depuis 3 ans.

En tant que consultant, il accompagne des marques, mais aussi des dirigeants et des personnalités publiques dans la conception et la mise en oeuvre de leur stratégie de communication. Dans une approche transverse, il aide les organisations, et les étudiants du supérieur, à intégrer le digital dans leur organisation interne et dans leurs actions de communication.